8 Mars journée Internationale des droits des Femmes

On parle, dans le langage courant, de la fête de la femme.
Non, il ne s’agit pas du bouquet à sa femme ou à sa grand mère.
Il s’agit des Droits des femmes.

Et un droit ça s’acquiert par la lutte.

Que la Paix s’épanouisse comme ces fleurs

La  journée internationale des droits des femmes est célébrée le 8 mars. C’est une journée internationale mettant en avant la lutte pour les droits des femmes et notamment pour la réduction des inégalités par rapport aux hommes.

Cette journée est issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain. Le 28 février 1909, une « Journée nationale de la femme » (National Woman’s Day)3,4 est célébrée aux États-Unis à l’appel du Parti socialiste d’Amérique5. À la suite d’une proposition de Clara Zetkin en août 1910, l’Internationale socialiste des femmes célèbre le 19 mars 1911 la première « Journée internationale des femmes » et revendique le droit de vote des femmes, le droit au travail et la fin des discriminations au travail5. Depuis, des rassemblements et manifestations ont lieu tous les ans.

C’est la Russie soviétique qui est le premier pays à l’officialiser en 1921, rejointe ensuite par tous les pays du bloc de l’Est[réf. nécessaire]. C’est finalement en 1977 que les Nations unies officialisent la journée, invitant tous les pays de la planète à célébrer une journée en faveur des droits des femmes. La « Journée internationale des femmes » fait ainsi partie des 87 journées internationales reconnues ou introduites par l’ONU. C’est une journée de manifestations à travers le monde : l’occasion de faire un bilan sur la situation des femmes dans la société et de revendiquer plus d’égalité en droits. Traditionnellement, les groupes et associations de femmes militantes préparent des manifestations partout dans le monde, pour faire aboutir leurs revendications, améliorer la condition féminine, fêter les victoires et les avancées.

Dans le langage populaire, le marketing ou les médias, elle est parfois désignée de façon abusive par l’expression écourtée « Journée de la femme »6, parfois assortie de l’adjectif « internationale » ou « mondiale ».
Nous pensons à dénoncer les inégalités de salaire et les inégalités d’embauche surtout dans les postes à responsabilité.
Mais pensons un peu que dans une institution internationale comme l’église catholique romaine, les femmes n’ont accès à aucun poste de responsabilité. Et si elles en ont un, c’est par désignation d’un homme prêtre, curé, évêque ou pape, mais toujours résiliable par le même. C’est une situation absolument scandaleuse, surtout du fait que les arguments utilisés pour persister dans l’erreur sont absolument faux. Jésus, dont s’inspire cette église, a été bien au contraire un promoteur des droits des femmes. Il ne les a pas tenus sous le boisseau et dépendante.