Ce malicieux PIEM a imaginé deux gallinacés qui se regardent dans le blanc des yeux par delà la croix d’un clocher.
Mais qui est-elle cette institution qui se dit sacrée mais qui se met en travers d’un amour humain sous prétexte d’un amour divin ? Car, on le sait bien, « l’amour est enfant de Bohème. Il n’a jamais connu de loi ! »
Vouloir opposer amour humain et amour de Dieu, c’est comme dire au pouce, tu dois te passer de l’Index ! Le second ne s’exprime-t-il pas à travers le premier?
D’autant plus que le premier est source de vie et source abondante. Chacun de nous en est une preuve évidente ! Pourquoi vouloir encadrer par des règles faites de mains d’hommes, en un temps donné et périmé, et souvent pour de sordides intérêts financiers, ce qui les dépasse de toute éternité ?
Chaque fois que cette institution a voulu marcher à l’envers de l’humain, elle s’est retrouvé perdante.
Certes des femmes et des hommes en ont souffert, atrocement pour certaines ! Mais au bout du compte cette église a toujours été la grande perdante. Elle y a perdu en vitalité, en confiance, en crédibilité car le bon sens des hommes et des femmes accepte de moins en moins, à mesure que la culture se répand, de se fier aux galimatias dit théologiques qu’elle profère.